Le divorce à l’amiable est reconnu pour sa promptitude et pour son côté plus économique que la séparation par procédure judiciaire. Cependant, divorcer par consentement mutuel exige un certain nombre de conditions que les époux se doivent de respecter. Découvrez ci-dessous, les explications nécessaires sur la procédure de divorce à l’amiable.
Le divorce à l’amiable : comment s’y prendre ?
Pour qu’un divorce à l’amiable avec un avocat au Havre ait lieu, les deux époux doivent faire preuve d’une parfaite collaboration. L’entente est la condition sine qua non, ce qui donne lieu à un projet de convention établi par les avocats de chacun des époux. Un document dans lequel tout est notifié concernant la vie du couple après leur séparation : prestation compensatoire, résidence des enfants, attribution du logement, pension alimentaire, le droit des visites…
Les deux parties doivent faire preuve d’un parfait accord sur tous ces éléments. Ensuite, la convention est observée et signée par les époux et leurs conseils dans un délai de 15 jours. Une fois approuvée par les époux, la convention établie en 3 exemplaires sera enregistrée par un notaire après qu’il s’est assuré du respect des éléments et du temps de réflexion.
Les avantages d’une séparation par consentement mutuel
Dans le cadre d’un divorce par consentement mutuel, plusieurs avantages sont à dénombrer. La plupart des époux privilégient le divorce à l’amiable pour sa promptitude. En réalité, la procédure d’une séparation à l’amiable ne dure qu’un demi mois. En outre, les époux peuvent négocier sans pression des conditions de leur séparation.
Moins onéreux que toute autre forme de divorce, on peut encore rajouter à la liste non exhaustive de la séparation par consentement mutuel, la liberté de décision ou encore le caractère confidentiel pour ne pas chambouler votre vie quotidienne. Un élément déterminant dans la procédure de séparation, qui permet aux époux de garder leur intimité, et de ne pas troubler leurs proches notamment les enfants qui souvent sont considérés comme les premières victimes.